« Il y a eu une période dans ma vie où je cumulais les spectacles. Je vivais à un rythme effréné, sans compter la pression qui venait avec le fait de devoir remplir les salles, autant au Québec qu'en Europe. Je n'ai plus envie de me presser, de courir et de jouer six soirs par semaine. Maintenant, je coupe la poire en deux et je n'en fais que trois de suite à la fois. Il faut aussi tenir compte du transport de ville en ville et de tout ce qui vient avec ça. Je veux du temps pour moi, pour ma blonde, et pour m'entraîner aussi. C'est une nouvelle logistique. »