« On ne sait pas exactement quand ils ont traversé sur l'île de Montréal, mais ça semble être surtout au début de pandémie. Du moins, c'est à ce moment-là qu'on a commencé à en observer dans l'Est, puis leur présence a explosé depuis. »
« Comme [les dindons] ne volent pas beaucoup, il y a beaucoup moins de chances que leur entrée sur l'île de Montréal se soit faite par la voie des airs que par un pont de glace ou par un pont d'asphalte, poursuit-il. Il y a eu une grosse période pendant la première vague où il n'y avait à peu près pas de voiture sur les routes. À ce moment-là, on a vu dans la faune urbaine qu'il y avait moins de dérangement. Partout dans le monde, il y a eu beaucoup d'espèces qui se sont rapprochées des milieux urbains à ce moment-là. »