« Pour nous, ça n'a rien changé. Louise a continué à faire le même travail. Nous, nous n'avions rien à reprocher, ni à la production, ni à Louise. Nous nous sommes assurés que Louise était bien là-dedans et que les participants - parce que nous étions en cours de tournage - étaient bien aussi. On a expliqué la situation aux gens et tout le monde a continué l'aventure malgré tout. Il n'y a pas eu d'enjeux. Louise s'est retirée de l'Ordre des sexologues, donc elle avait plus de liberté. »
« On a pris soin d'elle. On lui a apporté le soutien dont elle avait besoin. Ce qui a porté à confusion dans les gens qui ont porté plainte (et la plainte, nous ne l'avons jamais eu d'ailleurs), c'est l'oreillette, mais on fait de la télévision, donc tous nos animateurs ont des oreillettes. C'est peut-être la mauvaise perception, les gens croyaient qu'on lui dictait quoi dire. Sinon, après ça, c'est un docuréalité. Donc, quand on accepte de passer là-dedans, ça se peut que parfois on ne soit pas fier de [ce qu'on y voit]. Mais, pour nous, on est très fier de ce produit-là, il marche très bien, on reçoit beaucoup de commentaires positifs des gens du public. Il y a eu beaucoup plus de positifs que de négatif. Mais, c'est l'être des réseaux sociaux... », a-t-il ajouté.