« Il a été traduit en justice, il s'est reconnu coupable des faits, et il y a eu un consensus des avocats des deux bords pour effacer la peine. Pourquoi? Parce que les faits le justifiaient. Il était intoxiqué, il arrive chez lui le matin avec une femme qu'il ramène chez lui, il y a une autre femme dans l'appartement, il se chicane avec cette femme-là, il l'accote dans le mur et lui met une main dans le cou. Elle appelle la police. »
« La police vient. Elle déclare à la police qu'elle n'a pas eu peur, elle n'a aucune marque, il n'y a pas eu de violence avant, il n'y a pas eu de violence après. Il n'y en avait pas eu dans les semaines précédentes. C'est un événement ponctuel, il reconnait sa culpabilité, il passe en cour, et là il y a des femmes qui disent que c'est pas assez. C'est comme si on ne reconnaissait pas la justice. Et jusqu'à où on va aller dans l'accusation? Combien de temps il faudrait qu'il s'amende? »