« Partout où j'allais, le monde me reconnaissait dans la rue (...) À toutes les fois, c'était une shot d'adrénaline. Je ne mangeais pas beaucoup (...) parce que ton ventre est tellement noué (...) il y a plein d'affaires qui se passent. »
« À un moment donné, c'est le sentiment de solitude qui arrive. Parce que toi, pendant ce temps-là, tu as l'impression que tu es dont bien entourée. La planète est là, mais, oui, oui... c'est éphémère (...) Le down commence à se ressentir quand tout cet effet de nouveauté est rendu normal. Là, ce n'est plus drôle. »
« Je suis allée chez le médecin. Je rentre dans son bureau, je m'assois, puis il me dit: Comment ça va? Là, je pars à pleurer. Il fait comme: Oh là là, en ce moment, si tu ne veux pas péter au frette il faut que tu ralentisses. »
« Je commence à prendre [des antidépresseurs]! Je prends un peu de poids, je n'ai pas de libido, je suis en tab*rn*k. Je n'ai plus rien pour moi. À un moment donné, je vois les bienfaits. Je dors bien la nuit. »