« C'est l'été le problème. Le reste de l'année, ça va assez bien la conciliation travail-famille parce que, comme je suis réalisatrice, je suis en post-production, donc mon horaire, je le fais de 9 à 5. [...] Hier, j'ai commencé à chercher des camps. La crise dans la maison hier soir, ça pleurait toutes les larmes de leur corps. J'essaie de les préparer mentalement parce que, effectivement, c'est peut-être le premier été où ils vont aller à des camps, mais comme bien des enfants du Québec. »