Jean-Philippe: Je ne sais pas ça fait combien d'entrevues que tu donnes depuis 2020, mais à chaque fois qu'on te parle, on te parle toujours de cette date début juillet 2020. Le 7 juillet 2020 (Maripier précise qu'il s'agit également de la journée de sa fête) trois ans plus tard, tsé je te disais qu'on regardait vers l'avant. Cet avant-là, c'est la radio parce qu'on a appris que tu allais avoir une place le matin à WKND au 99,5 à partir du 21 août. Tu as fait un podcast, Grains d'espoir, qui roule depuis quelque temps. Ce demain-là, il est en train de se construire. Tu as passé ta vie sous les projecteurs, tu as vécu ce qui s'est passé sous les projecteurs. Tu as fait le choix de continuer sous les projecteurs. Pourquoi?
Maripier: C'est vraiment une bonne question. C'est un retour au métier que j'aime faire. C'est ça la nuance. Je n'ai pas besoin d'être placardée partout. Je n'ai pas besoin d'exposer ma vie à tout vent. Mais moi ce métier-là, c'est le métier que j'aime faire. Et d'avoir une opportunité comme celle de WKND, de retrouver un micro avec une gang vraiment accueillante, je suis vraiment consciente de mon privilège et de la chance que j'ai de recommencer à faire ce métier-là que j'aime tant.