Ce lundi, sur son compte Twitter, Yves Poirier a annoncé qu'il avait finalement eu gain de cause, car le « policier du peuple » a reconnu sa culpabilité.
Ainsi, celui qui, en 2020, avait publié sur sa page Facebook le numéro de téléphone du journaliste, qui avait vu sa boite vocale se remplir « de messages d'insultes et de provocation », devra répondre de ses actes, avec un an de probation, une absolution conditionnelle et il devra verser 3000 $ à la Fondation Marie-Vincent.