« Dans son bref discours de départ, Jean Airoldi m'a également envoyé une flèche, ce qui prouve que son mode anti-hypocrisie fonctionne à 1000 %. C'est moi le ''grand journaliste'' qui l'a décrit comme un ''styliste recyclé en agent d'immeubles'' dans une chronique publiée à la mi-décembre. Et c'est de bonne guerre. On donne des claques dans ce métier, on en reçoit aussi – de façon métaphorique, faut-il le spécifier. »