Sébastien et Béatrice d'OD Chypre dévoilent les premières images de leur nouveau condo

Sébastien a trouvé et acheté un condo pour leur quotidien. On sent que ça dépasse le simple déménagement : c'est un vrai virage pour le couple.

Pendant que Béatrice était à Québec, Sébastien a fait ses visites du côté de Brossard, sans trop étirer le suspense.

Il a fini par tomber sur une unité qui lui ressemblait : claire, simple, pas mal invitante.

Le moment le plus parlant, c'est quand il filme Béatrice pendant sa première découverte, la caméra au bout des doigts. On la voit absorber chaque pièce, comme si elle essayait déjà d'y imaginer leurs petites routines.

Le décor joue à fond la carte du blanc, avec des touches marbrées qui donnent un côté chic sans flasher. La lumière semble entrer à pleines fenêtres, et ça met tout le reste en valeur.

En marchant d'une pièce à l'autre, Béatrice laisse échapper un « C'est chez nous », visiblement heureuse et assumée.

Un peu plus loin, elle glisse : « C'est notre chambre », et on comprend que l'emménagement est décidé.

Ce nouveau pied-à-terre change aussi la dynamique, surtout avec la distance entre Québec et la Rive-Sud. Le condo devient une base, un endroit où se retrouver quand le quotidien reprend le dessus.

Parce qu'en parallèle, Sébastien continue de replacer ses pions côté hockey, et ça bouge, pour vrai. Il se rapproche de sa nouvelle équipe, le Bataillon de Saint-Hyacinthe, dans la Ligue nord-américaine.

Le 16 juin 2025, le Bataillon a annoncé sa signature, et la nouvelle avait déjà fait jaser les fans. Après des années en Europe, ce retour au Québec a un petit goût de « on revient à la maison ».

Dans ce contexte-là, Brossard devient un choix logique pour souffler entre deux semaines chargées. C'est assez central pour garder le rythme, sans s'éparpiller partout sur la carte.

Pour Béatrice, qui a ses attaches à Québec, ce condo peut aussi devenir un point d'ancrage plus stable. On le sait, les couples d'OD se font attendre au tournant, mais eux semblent vouloir bâtir doucement.

Ce qui plaît, c'est que ça reste simple : pas de grande mise en scène, juste un vrai moment de vie. Et entre nous, entendre « chez nous » aussi naturellement, ça fait sourire.