Alicia Moffet se confie sur son insécurité dans sa relation avec Fred Robichaud en raison de son passé

« Quand j'étais plus jeune, j'étais très obsessive; si mon chum allait quelque part, je capotais », a-t-elle mentionné d'entrée de jeu, tel que rapporté par HollywoodPQ.

« Des fois, j'ai eu des bons gut feelings parce que la réalité c'est que des fois, tu n'es pas folle. C'est juste que c'est tellement tannant de vivre avec ça aujourd'hui [...]. Je suis full consciente que ce n'est pas tous les gars qui sont pareils et que mon chum n'est pas pareil, il n'est pas comme mes ex, comme les gars que j'ai daté, puis pas parce qu'un tel a fait ça que l'autre va le faire.»

« [...] Mettons que si tu te mets la main sur le feu pis ta main brûle, tu ne la remettras pas sur le feu. Mais, si je me suis fait tromper une fois, que j'avais raison, puis que je me suis fait dire que je ne me faisais pas tromper, mais finalement je me suis fait tromper, comment tu veux que je pense que quand il va aller sortir avec ses boys, je ne me ferai pas tromper? Je le sais, puis c'est un complexe. »

« Je me sens cinglée, et justement, c'est tellement tannant parce que j'haïs vivre avec ce sentiment-là, et je m'haïs de ne pas être capable de le comprendre. Mais, après, c'est comme si mon cerveau avait compris que si mon chum va quelque part sans moi, je vais me faire tromper, et je vais le savoir plus tard [...].

Plus je vieillis, plus je me programme à ne pas texter mon chum 1000 fois, à ne pas l'appeler 1000 fois. Quand il est allé en Gaspésie cette fois-ci, je n'ai pas dormi pendant cinq jours, mais je n'ai pas envoyé des paragraphes, je n'ai pas appelé [...]. »