« J'ai pleuré ma vie. Le lendemain, je ne voulais plus monter sur scène. Ça prend une certaine dose de courage pour, après ça, réaffronter le public le lendemain. Se faire dire à l'émission de Patrick Masbourian que ce n'est même pas drôle, qu'il n'y a pas de 2e degré alors que, pour moi, tout le spectacle est au 2e degré. Je me suis dit qu'il y avait des clés que je n'avais pas données. Et, ce qui est bien avec cette forme de spectacle-là, c'est que c'est modulable, je peux retravailler. Si je présentais le spectacle aujourd'hui à Outremont, je suis persuadé que j'aurais d'autres réactions, parce que j'ai retravaillé le spectacle »