« Moi, je le vis très bien, le 70 ans; ce sont mes cervicales qui le vivent moins bien! Malgré tout, je connais plein de gens au cimetière qui aimeraient avoir les problèmes d'épaules que j'ai! »
« Je vis cela avec une certaine égalité d'humeur. Je ne trouve pas ça compliqué. J'ai eu des changements de décennie beaucoup plus pénibles que celui-là. Quand je suis arrivé à 60 ans, j'avais trouvé ça extrêmement pénible. C'était la constatation du vieillissement, de la fin de parcours. Ce coup-ci, je trouve ça pas si mal, c'est bien! »