« À un moment donné, 2,30 $, 2,35 $ ici à Montréal, ce ne sera évidemment pas quelque chose de louable, mais ça arrivera d'une façon ou d'une autre », a prédit de noire façon M. McTeague.
Dan McTeague avance tout de même quelques pistes de solution :
« Les consommateurs croient peut-être que les impôts que l'essence est trop élevée, que c'est le temps de développer nos ressources d'hydrocarbures, peut-être que c'est le temps de trouver d'autres mesures pour soulager cette augmentation. »