« Il aura beau confesser sa noble intention a posteriori, François Legault ne peut abriller la réalité d'une occasion tristement manquée de rendre hommage à ce véritable bijou québécois.
Ni que cette omission démontre comme la sélection des candidats relève, non pas du mérite, mais d'un calcul.
D'un calcul qui n'appartient pas à un comité décideur, mais au premier ministre, à qui revient le dernier mot.
Car, au Québec, on récompense, certes, mais seulement si on ne fait pas trop de vagues. »