« C'est très intéressant de voir l'approche des jeunes face au métier, qui est très différente de ce que j'ai vécu. Il y a beaucoup plus de possibilités, mais ça ne nous dit pas nécessairement qui on est et comment on navigue à travers tout ça. Mes élèves sont aux prises avec d'autres difficultés, mais ils ont toujours les mêmes angoisses. Il y a quelque chose de très excitant pour eux. Les modes de production changent, c'est davantage à leur portée. Ça leur permet de faire leurs propres projets, de s'autoproduire. Ils sont plus autonomes, mais en même temps, le marché est plus fractionné. Ce sont d'autres défis. »