Pascal Clavel, 50 ans, avait reçu une première dose du vaccin en janvier.
Après près de trois mois, elle a ensuite testé positive au virus le 31 mars. Le 3 avril, ses symptômes s'aggravent et elle se rend à l'hôpital alors qu'elle est en détresse respiratoire. Elle fut alors placée sous oxygène pendant deux jours avant de voir son état s'améliorer et d'obtenir son congé le 6 avril.
Dans sa lutte contre la maladie, la préposée se demande pourquoi on a décidé d'un délai de quatre mois alors que la recommandation est de trois semaines entre les deux doses.
Malgré l'administration du vaccin, la santé publique demande de continuer de suivre les recommandations. Il est important de rappeler également que le vaccin n'est pas efficace à 100 %.