En 2019, la mairesse de Montréal avait affiché ses objectifs devant l'Assemblée générale de l'ONU. Elle avait comme objectif de réduire de 55 % les GES d'ici 2030 par rapport à 1990. Le transport représentant 40 % de la pollution dans la ville, il est normal que Valérie Plante veule s'attaquer à ce problème. Mais est-ce que la taxation au kilomètre parcouru est la bonne solution?
Les différents gouvernements ont toujours rejeté cette façon de faire, préférant mettre des postes de péage sur de nouvelles autoroutes ou augmenter d'avantage les frais sur les permis de conduire ou les plaques. Une telle mesure serait inéquitable pour les Montréalais alors que le reste de la population québécoise ne serait pas touchée par celle-ci.