Ce professeur en médecine en a mentionné les raisons dans une lettre d'opinion qu'il a publiée dans le « Wall Street Journal ».
Premièrement, il mentionne que depuis janvier, le taux de nouveaux cas quotidiens de COVID-19 a chuté de 77 % dans le pays et ce, malgré l'arrivée de variants. Il dit qu'on a donc raison de croire que les États-Unis se dirigent vers un faible taux d'infection.
Deuxièmement, pour le pays ayant été très touché depuis le début avec plus de 28 millions de cas aux États-Unis seulement, le taux de personnes contaminées jumelé à la campagne de vaccination qui s'accélère à un très bon rythme, l'immunité collective pourrait, selon lui, être atteinte aussi tôt qu'en avril.
Ces propos donnent beaucoup d'espoir pour notre pays voisin et espérons que nous puissions nous aussi nous sortir de cette pandémie plus tôt que prévu.