Marie-Claude Barrette explose de rage et elle lance un puissant message
Crédit photo: Radio-Canada
En colère, Marie-Claude Barrette a dénoncé une situation totalement inacceptable dans les dernières heures, tel que le rapporte l'équipe du magazine 7 Jours.
En effet, la populaire animatrice a exprimé sa colère après avoir été à plusieurs reprises visée par des escrocs sur Facebook : Je suis tellement en cr*sse », a-t-elle lancé sans détour, dénonçant fermement l'inaction du gouvernement.
Elle explique que des individus utilisent son image afin d'attirer des internautes et leur soutirer des sommes d'argent. Il faut savoir que selon ce qu'elle a mentionné, ce sont plus de 20 millions de dollars auraient déjà été subtilisés aux Québécois uniquement dans le cadre des fraudeurs exploitant son visage.
Marie-Claude rappelle qu'il ne s'agit là que des cas liés à son image :
« Y'a toutes les autres qui impliquent d'autres personnalités publiques. C'est majeur. (...) Qui défend les victimes de fraude numérique? Personne! »
« Il y a tellement de préjugés, mais la réalité c'est que tout le monde peut tomber dans le panneau. C'est quelque chose de bien organisé. Il y a des gens qui ont tout perdu. »
« Ces gens-là ne savent pas vers où se tourner et se sentent laissés à eux-mêmes. »
« Il y a tellement de préjugés, mais la réalité c'est que tout le monde peut tomber dans le panneau. C'est quelque chose de bien organisé. Il y a des gens qui ont tout perdu. »
« Ces gens-là ne savent pas vers où se tourner et se sentent laissés à eux-mêmes. »
Des pistes d'action et des responsabilités
Selon Marie-Claude, les gouvernements devraient se mobiliser davantage : investir massivement dans des campagnes de sensibilisation et offrir un soutien psychologique aux victimes.
Elle appelle aussi les institutions bancaires à jouer un rôle actif :
« Elles pourraient lever des drapeaux rouges quand des gens se mettent à vider leurs comptes. »
De plus, l'animatrice a engagé une action collective contre Meta Platforms, la maison mère de Facebook. Ce dossier, entamé il y a un an et demi, avance lentement :
« C'est un processus qui est lent et compliqué. »
À suivre.
Source: 7 Jours
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