« J'ai tellement un bon exemple, je dois dire, de ma maman Yuki, qui est devenue célibataire à 45 ans, je pense, et qui a décidé de faire une croix sur les hommes.
Ce n'est pas du tout ce que je fais, donc oui, je prends encore les candidatures, mais... de se sentir complète en tant que femme célibataire, je pense que c'est hyper important, parce qu'au niveau du nombre, il y aura toujours plus de femmes célibataires que d'hommes, parce qu'il y a plus de femmes dans le monde, il y en a plus au Québec aussi, et puis donc, juste au prorata, on est peut-être mieux d'être célibataire que d'être moins bien servie ou servie à moitié. (...)
J'ai cet exemple-là, qui fait que j'ai peu de grandes tristesses. Ça va m'arriver, mais le meilleur exemple est cette femme-là, Yuki, qui a élevé ses trois enfants, qui a été mariée, qui a eu des chums par la suite, mais qui, à un moment donné, s'est dit: Bien regarde, c'est trop compliqué... ça complique ma vie.
Elle n'a pas eu de super expériences nécessairement amoureuses, donc à un moment donné, elle a pris cette décision-là, puis elle n'a jamais été aussi heureuse qu'à partir de ce moment-là. Alors c'est une option, c'est une vision, mais au moins, elle est dans ma face. »