« Avec le recul, je suis persuadé que ç'a été la meilleure décision. Contrairement à ce que beaucoup ont pensé, je n'ai pas fait un burn-out; c'était de l'anxiété de performance. J'ai vu des humoristes frapper le mur, devant moi. L'un d'eux, que je ne nommerai pas, avait même fait son numéro et, en sortant de scène, ne se rappelait plus qu'il y était monté. J'ai arrêté avant que ça ne m'arrive. J'ai découvert d'où venait la source de mon anxiété. Ça m'a aussi permis de m'occuper du sentiment de culpabilité qui m'habitait depuis l'enfance. Ça allait aussi loin que lorsque je n'amenais pas mon chien avec moi dans mon camion », a-t-il confié à ce sujet au 7 Jours.