« Je suis au centre-ville de Montréal et là ça fait pas un, mais deux sans-abris qui viennent me quêter à même mon char. D'habitude je les salue quand même mais là ça m'a fâchée parce que les deux avaient un accent français. »
« Je veux ben croire qu'on est envahis par les Français, venez-vous en on vous aime, mais là si vous vous retrouvez dans la rue, on a un problème il manque pas de job icitte », ajoute-t-elle ensuite.