« On avait peur que notre silence soit vu comme des regrets, comme si toutes les personnes qui ont dénoncé Julien Lacroix dans l'article du Devoir en 2020 regrettaient de l'avoir fait et se rétractaient », a indiqué l'une d'entre elles.
« Avec son retour, ça faisait plusieurs fois qu'on avait la volonté d'écrire une lettre, mais qu'on ne le faisait jamais», poursuit-elle. «On a participé à plusieurs entrevues, chacune de notre côté, mais beaucoup de nos témoignages ont soit été tronqués ou utilisés hors contexte, comme c'est le cas dans l'article de La Presse. Cette lettre, c'est notre parole entière. »