L'autre jour, sur Alertes, on me cadrait serré; je voyais mon cou et mon menton, et je capotais parce que je n'avais pas ça avant. C'est en effet difficile pour moi de me voir vieillir, mais, en même temps, c'est correct. Je ne suis pas du genre à aller me faire arranger. Je suis content de voir comment je vieillis, surtout que je me haïssais tellement à une autre époque! Durant tout mon secondaire, je pesais 103 livres et j'étais renfermé. Je ne prenais pas de place et j'étais plate. Aujourd'hui, je suis fier de ce que je fais.
--Benoît McGinnis