La plaignante a réussi à trouver plus d'une quinzaine de photos d'elle et de ses filles, majeures, dans les appareils électroniques du policier. Le policier s'est défendu en disant vouloir exercer une surveillance et non avoir des images à caractère sexuel, mais la femme a tout de même porté plainte ne croyant pas aux explications de l'agent.
L'ex-policier a plaidé coupable aux accusations et s'est dit prêt à suivre une thérapie. Ses avocats ont demandé une absolution inconditionnelle, ce qui a été autorisé par le juge, celle-ci étant conditionnelle à une probation de 12 mois ainsi qu'un don de 4000 $. Cette absolution lui permettra de pourvoir se rendre aux États-Unis pour aider son ami à s'occuper de sa maison ainsi que de pouvoir continuer à travailler dans le domaine de la sécurité privée.
Le SPVQ avait suspendu l'agent durant les procédures judiciaires, une évaluation sera faite pour la suite des choses.
Source : Le Soleil